Il faut bien que vitesses se passent
Le talus n'attend pas le nombre des années
L'agent ne fait pas le bonheur
Il n'y a pas de fumée sans pneu
Rien ne sert d'ouvrir, il faut partir à point
Ni Dieu, ni chronomètre
Toute panne mérite galère
Dans le mazout, abstient-toi Concentrez vos pensées et évitez de réfléchir en thermes manichéens
Celui qui passe sa vie à craindre la souffrance souffre déjà de cette crainte.
La souffrance n'ennoblit pas, elle dégrade.
Un esprit de destruction, telle est l'issue fatale d'une vie non vécue.
La tragédie de l'homme est ce qui meurt en lui quand il est encore en vie.
Perdre son temps est une forme de suicide.
Le pouvoir corrompt une minorité d'individus, la faiblesse corrompt tous les autres.
La plus belle richesse de l'autonomie, c'est la liberté.
Celui qui sait être pauvre est un savant.
Les biens donnés aux amis sont les seuls qui vous appartiendront toujours.
Celui qui connaît l'éternité est un homme éveillé.
Ce ne sont ni la question ni la réponse qui conduisent à l'éveil, mais la manière d'obtenir la réponse.
Refuser de coopérer avec le mal est une obligation aussi forte que de coopérer avec le bien.
Avant de parvenir à l'éveil, nous ne connaissons que ce qui nous est montré par la vue, le toucher, l'ouïe, le goût et l'odorat.
Tous les humains naissent bons. C'est la vie qui les rend corrompus.
La vie mal vécue par excellence est celle qui est vécue sans pensées.
On ne peut s'en prendre à Dieu si le mal existe, pas plus que l'on peut tenir le soleil pour responsable de l'obscurité.
Le cri d'une chouette attire les démons, jeter du sel sur le feu vous protègera.
Son cri par un soir de pleine lune annonce le début de l'agonie d'un malade.
En plaçant le cœur d'une chouette sur la poitrine d'un dormeur, il répondra à toute vos questions.
Lorsque les chouettes chantent, c'est signe de beau temps.
L'argent est source de bien pour l'homme honnête et source de mal pour l'homme corrompu.
Un être humain aurait-il des pensées différentes s'il était château ou cabane ?.
Celui qui est pauvre n'est pas celui qui a peu, mais celui qui veut plus.
Le désir de possession est inhérent à la nature humaine.
La fortune sourit aux audacieux.
Nous sommes tous les otages de la richesse, ce qui ne signifie pas que nous soyons impuissants à changer notre destinée.
Le désir de se nourrir des fruits recueillis par le labeur de son voisin est le défaut majeur de le nature humaine.
La pauvreté est la mère de tous les crimes.
Vivre dans la peur de mourir, c'est souffrir mille morts.
Nous faisons tous la course pour gagner une vie précieuse ; en d'autres termes, nous fuyons la mort.
Chacun espère vivre longtemps, mais personne ne souhaite vieillir.
Quand la vieillesse s'approche de nous, nous tombons des nues.
Pour les ignorants, le grand âge représente l'hiver ; pour les personnes éveillées, il représente la saison des récoltes.
L'amour ne se perd jamais, contrairement aux amoureux.
Seuls les morts ne changent pas d'avis.
Le travail est ce qui structure la vie, prenez-le comme une opportunité et non comme une malédiction.
L'argent est le grand pourvoyeur de moyens.
Un homme doit d'abord se mépriser lui-même pour l'être ensuite par les autres.
On ne peut prétendre connaître les autres que si l'on se connaît déjà soi-même.
Qu'il est puissant, celui qui a du pouvoir sur lui-même.
Tout individu capable de contrôler sa colère est extraordinaire.
L'héroïsme, cette concentration étonnante et glorieuse du courage !
Si vous vous prenez à douter des miracles, faites l'examen de votre esprit.
L'éveil intérieur est par essence l'art de voir dans notre nature psychique.
Le psychisme est sans nul doute plus complexe et plus inaccessible que le corps : il prend naissance au moment où on le découvre.
Dans l'inconscient, on ne peut rien achever, rien n'est passé ni oublié.
Le rêve est la réalisation déguisée d'un désir inassouvi.
On ne cesse de trébucher et de tomber, y compris les plus éveillés d'entre nous. Mais celui qui vit dans le noir spirituel ne s'aperçoit même pas qu'il est tombé.
Si les vitres de perception étaient plus propres, toutes choses apparaîtrait telles qu'elles sont, c'est-à-dire infinies.
Sachez percevoir la signification des petites choses.
Protéger ce qui est doux et vulnérable, tel est le secret de la force.
Un esprit éveillé est toujours ouvert.
En croyant que vous ne pourrez pas, vous vous interdisez de réussir ; en croyant que vous pourrez, vous vous donner une chance de réussir.
Le comble du bonheur pour l'homme, c'est écouter sa véritable nature.
Le caractère d'une personne, c'est son destin.
Le péché, ce n'est pas désobéir aux commandements de Dieu, c'est trahir sa propre intégralité.
Celui qui abhorre le vice adore l'humanité.
Le sens moral de la conscience est sans nul doute l'attribut le plus important de l'homme.
Le principal péché est de ne pouvoir reconnaître la part d'humanité chez autrui.
Elle est source de vie et de lumière, l'idée qui anime et éclaire les paroles, les faits, les exemples et les sentiments, autant de choses qui, sans elle, resteraient plongées dans l'obscurité et l'inertie.
Misanthropes et contempteurs des idées sont unis dans la même méconnaissance du monde.
Toutes les idées fausses tomberaient comme un fruit mûr, si elles étaient exprimées clairement.
Croyez en vous même et soyez heureux de ce que vous êtes ; ainsi vous aurez contenté le juge le plus sévère.
Quotidiennement et par tous les moyens, aspirez à devenir meilleur.
Modérez vos peurs en sachant que vous pourrez faire mieux.
La quiétude d'esprit et l'activité sont gages de bonheur, non l'argent ni les belles choses.
Dans un conflit, battez-vous loyalement. C'est plus important que de gagner.
Vous devez accorder à vos semblables plus que ce qu'ils vous demandent. Et avec le sourire.
Rien de ce qui vaut d'être possédé ne s'acquiert sans peine.
Un conseil : choisissez ce que vous êtes prêt à abandonner pour parvenir à vos fins, car les plus grandes carrières s'accompagnent toujours de sacrifices.
Les responsabilités, c'est le prix à payer pour être parmi les grands.